12 décembre 2008
Boum
Il n'y a plus rien à dire. Maintenant il faut foncer. Dans les orties. Et les calvaires. Se goupiller le corps et en extraire toute essence essentielle à la survie. Avancer. Comme toujours. Boum. Et lâcher un cri, toujours des cris. Pour expulser. Le surplus d'humanité décongelée des entrailles assaillies de toute part par les guerriers innocents.
Ne pas savoir et enfin comprendre. Les chemins de l'horizon. Ne pas partager ça. D'un commun qui ennuie. A force.
Tout perdu pour tout retrouver. Ailleurs et d'autre forme. Inconnu.
A tout vouloir. Enclencher les vibrations et les yeux fermés tendre la main pour découvrir à quelques heures perdues cet exploit du temps qui ennivre.
Boum.
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